La Loppsi a été adoptée en première lecture par l'Assemblée nationale. Le texte comprend des mesures ciblant Internet et les nouvelles technologies.
Ces deux dernières années, l'UMP a tenté d'imposer le terme de "vidéoprotection" à la place du plus connoté "vidéosurveillance". Un choix de communication, mais qui révèle aussi une évolution politique.
Les députés examinent le projet de Loi d'orientation et de programmation pour la performance de la sécurité intérieure. Celui-ci s'intéresse particulièrement à Internet et aux nouvelles technologies.
Alors que les nouvelles technologies numériques rendent la vidéosurveillance de plus en plus menaçante pour la protection de la vie privée, la CNIL souhaite disposer de pouvoirs nationaux de contrôle étendus en matière de vidéosurveillance. Elle demande également que des études fiables soient réalisées pour mesurer l'efficacité des caméras dans la lutte contre la délinquance. [Lire la suite]