Le Mondial 2014 de football au Brésil se déroulera finalement dans 12 villes et non 10 comme prévu, afin que l'Amazonie,...
Ces deux dernières années, l'UMP a tenté d'imposer le terme de "vidéoprotection" à la place du plus connoté "vidéosurveillance". Un choix de communication, mais qui révèle aussi une évolution politique.
Le thème de l’insécurité a toujours été un cheval de bataille de la droite en cas d’élections.
C’est étonnant car comme l’UMP est au pouvoir depuis huit ans, on s’étonne que personne ne leur fasse remarquer qu’ils sont responsables des mauvais résultats en la matière.
Cette année, c’est reparti : Valérie Pécresse trouve Huchon trop laxiste en matière de sécurité.
Les violences dans les établissements scolaires, c’est de sa faute !
Le nouveau dada, c’est la vidéo protection. On va multiplier le nombre de caméras de surveillance dans nos villes.
Mais il y a quelques réticences car les élus ne sont pas d’accord si ce sont les municipalités qui payent, surtout si dans le même temps, on diminue le nombre de policiers.
La question qui se pose : « Est-ce efficace ? »
20 millions d’euros, il faut encore que ça marche. Un article du Figaro annonce qu’une étude faite sur plusieurs villes prouverait qu’il y a deux fois moins d’agressions avec un système de vidéosurveillance.
Ce rapport ne fait pas l’unanimité comme le montre un article du Monde (http://bugbrother.blog.lemonde.fr/2009/03/23/videosurveillance-un-rapport-biaise/)
Certains vont même jusqu&rsqu...
L'opérateur va investir 2 milliards d'euros pour déployer son offre FTTH dans plus d'une quarantaine de villes d'ici 2 ans.