Nombreux sont les sportifs qui, par superstition ou par habitude, entretiennent des rituels pour le moins étranges. Voici quelques manies farfelues développées par certains champions avant, pendant ou après un match. Dossier
Dans une légère brise thermique, la manche d'entraînement du Trophée Région de Sardaigne a été remportée aujourd'hui par Artemis, après la dérobade de Matador et de Bigamist 7, trop superstitieux pour accepter la victoire dans cette course d'ouverture.
On retrouve une superstition semblable à celle qui entourait la chapelle Notre-Dame-Mère-de-Dieu, dans la forêt de Jumièges, où l'on nouait les tiges des genets pour se guérir des fièvres. Jusque dans les années 1860, rapporte l'abbé Cochet, les nourrices du hameau du Genetay, à Saint-Martin-de-Boscherville, attachaient les flièvres des enfants confiés à leurs soins aux genêts de la forêt de Roumare. Cette superstition était partagée par les femmes de Hautot, Sahurs et la Bouille, etc., ce qui n'empêchait pas les petits Rouennais de peupler les cimetières de ces communes. Aussi lorsque des parents donnaient leurs enfants à des nourrices mercenaires avait-on coutume de dire « Ils l'ont mis sur le bateau de la Bouille. » Cette locution est encore proverbiale dans le peuple pour désigner un nouveau-né dont la mort est prochaine.
La superstition c'est le fait de croire que certains actes, signes, nombres, ou même des animaux entraînent des conséquences bonnes ou mauvaises. Tel que le nombre 13 chez les français et le cas du corbeau chez les arabes' En effet la superstition est interdite par la religion, car notre religion islamique appelle à la croyance en un seul Dieu « Allah » c'est lui seul qui connaît le passé et l'avenir des êtres, et rien d'autre ne le peut. (...)
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