Dépêche n° 4276 - vendredi 4 décembre 2009 : Les fonds d'investissement Colony Capital et Orion viennent d'annoncer l'acquisition d'une part « significative » de la dette du groupe immobilier espagnol Inmobiliara Colonial, jusque là détenue par la banque Goldman Sachs. Le total du prêt syndiqué de Colonial s'élève à 4,2 Mds€. Selon la presse espagn[...]
LA CONVENTION POUR UNE GUADELOUPE NOUVELLE a écouté avec attention le discours prononcé par NICOLAS SARKOSY chef de l'état colonial français devant le Parlement français réuni en Congrès à la veille de sa visite dans notre pays et dans ses autres colonies antillaises ,
Dénonce un discours d'une grande platitude s'agissant de notre pays la Guadeloupe ce qui en dit long sur la négligence avec laquelle notre pays est gouverné par l'état colonial français;
Dénonce le refus persistant de la France de présenter aux descendants des esclaves les excuses qu'impose la mise en esclavage de leurs parents et l'absence de procédures pour les indemniser comme cela a été fait pour les européens propriétaires des habitations :L 'ESCLAVAGE NE RESTERA PAS UN CRIME SANS CHATIMENT;
Dénonce la persistance de la volonté française à refuser d'appliquer à notre pays le droit international de la décolonisation qui entre autre chose protège les petits pays comme les nôtres des pwofitasion organisées notamment par l' état colonial français qui pourtant se targue devant la communauté internationale de toujours respecter les droits de l'homme ;
Dénonce enfin l'absence d'une vision claire de l'avenir de la Guadeloupe et de mots pour mobiliser les guadeloupéens alors que la France s'est arrogée par la force et le mensonge le droit de gouverner et d'administrer la Guadeloupe et qui passe son temps à dénigrer notre gestion , nos capacités et à dire que sans leur pré...
Le président de l'Assemblée populaire nationale (APN), M. Abdelaziz Ziari, a affirmé jeudi que le régime colonial français a voulu se disculper de ses crimes en dénaturant les faits à travers la loi négationniste du 23 février 2005.
Alors que l'on réclame l'interdiction de "Tintin au Congo", et que le CRAN a demandé au ministre de la Culture de prendre position vis-à-vis de la polémique, l'écrivain congolais Alain Mabanckou dit ce qu'il pense de ce black bazar.