C'est David contre Goliath lorsqu'un patient intente une poursuite contre un professionnel ou un établissement de la santé, reconnaît volontiers Me Marc Boulanger, de Québec, spécialisé dans la défense de victimes d'erreurs médicales. (Journal de Québec)
Il aura pour mission de piloter, coordonner et évaluer les réalisations d'un service de soins en cohérence avec le projet des soins défini dans le cadre du projet d'établissement.<BR/>Il participe au processus de recrutement, d'intégration, de formation et d'évaluation des personnes de l'unité de soins.<BR/>Il sera responsable d'un service de 18 lits de maternité et de chirurgie gynécologique.<BR/>Il aura sous sa responsabilité 9 sages femmes, 6 infirmières, 4 aides soignantes, 4 agents des services hospitaliers et 2 secrétaires médicales.
Les urgences médicales dans nos hôpitaux fonctionnent à la vitesse de la tortue. Les patients et les blessés arrivent en masse aux portes d'un service peu outillé pour les prendre en charge. Le constat existe depuis des années sans espoir d'amélioration à l'avenir. A voir ou à vivre ce qui se passe dans les urgences médicales de nos hôpitaux, il y a lieu de s'alarmer.
C'est une tradition ancienne. Les secrétaires d'État sont souvent à l'étroit dans leurs attributions et vivent mal la cohabitation avec leur ministre de tutelle. Qui, eux-mêmes, rechignent à leur reconnaître trop d'indépendance.