A la cour d’assise d’Orléans, une femme de 31 ans jugée pour meurtre en compagnie de son ami a tenté de se suicider hier matin au cinquième jour du procès qui reprendra dimanche après suspension par le président du tribunal. Son ami est jugés pour vol précédé, accompagné ou suivi de violences ayant entraîné la mort, encourent la perpétuité. La jeune femme, qui avait avalé des cachets anxiolytiques, était en train de s'étrangler avec un torchon noué autour du cou quand les gardiens sont venus la chercher dans sa cellule. Transportée à l'hôpital, un expert mandaté par la cour devait prescrire 24 heures de repos. La jeune femme et son compagnon sont accusés d'avoir tué, le 12 novembre 2006, une femme de 51 ans, propriétaire d'un bar-tabac-épicerie, à Guilly, un village du Loiret. Les deux auteurs présumés, interpellés un mois plus tard, avaient expliqué avoir agi avec la seule intention de commettre un vol. 2.000 euros en liquide et une centaine de cartouches de cigarettes avaient disparu.
Le dispositif s'appliquerait dans les cas où l'accusé est devenu majeur au moment du procès.
La Cour de cassation reproche à la cour d'appel de Paris de ne pas avoir suffisamment motivé sa décision de suspendre la commercialisation exclusive de l'iPhone par Orange.
Une cour d'appel américaine doit dire, à l'issue d'un procès qui s'est ouvert vendredi, si la police peut continuer à se passer de mandat lorsqu'elle demande aux opérateurs de téléphonie mobile de lui fournir des données permettant de localiser des suspects.