Andy Robinson regrette le manque de réalisme de son équipe face aux Tricolores à Murrayfield (9-18).
Une série de portraits pris la tête en bas, par le studio Bruton Stroube.
Le secret pour concevoir des interfaces réalistes est simplement de faire apparaitre sur un écran en deux dimensions des objets en leur donnant le volume, la texture et les ondulations qu’ils pourraient avoir en vrai. Et d’utiliser habilement et avec subtilité toutes les possibilités offertes par Photoshop.
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Elles sont «réalistes et atteignables». (Journal de Montréal)