Andre Agassi. Oubliez la perruque et les amphets ! L'ex-tennisman raconte surtout la difficile découverte de ses vérités.
Miserere
Creuse ma capitale aux ombres enferrées
Les bouches à nourrir ont des rêves postiches
Et leurs baisers d'helminthe en rouge et noir s'affichent
Au vestiaire de la peur et des ventres rusés.
Au coeur du fourgon sale où l'antre a son bétail
L'estomac du commun, l'insolence du nombre
Font vaciller la chair au verbe triste et sombre
Qui rentre son oeil noir, sa pauvre âme au bercail.
Et la rame ravale un cri d'humanité
Referme automatique une gorge ...
Ses bagages remplis de robes, de perruques et de chaussures ont logé près d'elle, à l'hôtel. (WENN)
L'ancien champion de tennis admet avoir eu plus peur de perdre sa perruque que Roland-Garros. Cette semaine, il avait avoué s'être drogué et avoir menti pour ne pas être sanctionné.