En identifiant l'influence de récepteurs olfactifs sur le comportement de l'anophèle, le moustique vecteur du paludisme, une équipe américaine ouvre la voie à de nouvelles pistes de lutte contre la troisième maladie la plus meurtrière au monde.
En identifiant l'influence de récepteurs olfactifs sur le comportement de l'anophèle, le moustique vecteur du paludisme, une équipe américaine ouvre la voie à de nouvelles pistes de lutte contre la troisième maladie la plus meurtrière au monde.
Une équipe internationale de chercheurs s'intéresse aux enzymes qui permettent aux parasites de...
Grâce à une vaste étude de génétique évolutive et épidémiologique, menée pendant huit ans en Thaïlande, des chercheurs de l'Institut Pasteur et du CNRS viennent de montrer qu'une mutation particulièrement répandue au sein de certaines populations d'Asie du Sud-est confère une résistance accrue contre le paludisme. Ces travaux, publiés dans la revue Science du 11 décembre, révèlent également que cette mutation avantageuse est apparue il y a 1500 ans et qu'elle a considérablement augmenté le taux de survie de ces populations.
Des chercheurs viennent d'identifier une mutation génétique à l'origine d'une résistance au paludisme en Asie du Sud-est.en lire plus