Après plusieurs heures de face à face avec la police qui encerclait le hangar où 90 migrants avaient passé la nuit, la plupart d'entre eux ont quitté le local dimanche après-midi.
Après plusieurs heures de face à face avec la police qui encerclait le hangar où 90 migrants avaient passé la nuit, la plupart d'entre eux ont quitté le local dimanche après-midi.
À supposer que les migrants découverts vendredi matin sur la plage corse de Paragan soient bien arrivés par la mer, le bateau qui les a transportés ne courrait que fort peu de risques d'être repéré par la Marine française. Le sémaphore de Pertusato, qui assure la surveillance des Bouches de Bonifacio sous l'autorité de la préfecture maritime de Toulon, était en effet confronté à une panne de radar au moment probable de leur débarquement.
Dans un contexte polémique autour du sort des 123 clandestins retrouvés vendredi en Corse, la justice a remis une quarantaine d'entre eux en liberté dimanche. » Le HCR interpelle la France sur le sort des migrants