Une étude du ministère de la Culture pointe plutôt la dérive des noms de marque en anglais.
Nombre de bonnes idées méritent d'être apprêtées.
Lorsque l'on pense à la finance, à l'épargne ou au crédit, on a du mal à entrevoir une composante écologique ou éthique dedans. Forcément, dans l'imaginaire collectif, les financiers, les banquiers, ne pensent qu'à une seule chose : faire le plus d'argent possible. Mais depuis quelques années maintenant, nous découvrons de plus en plus de propositions et d'offres de la part des banques, pour de l'investissement qui serait « socialement responsable ». C'est-à-dire que les investissements intégreraient des critères autres que le simple retour financier, mais également des critères éthiques et responsables. C'est ce que j'ai découvert au BarCamp de la finance éthique. Cet article est le premier d'une série vous présentant les différents sujets de ces ateliers de réflexion.
On dit que l'argent n?a pas d'odeur. Laissez-moi vous dire que c'est faux. Le week-end dernier, j'ai participé à un BarCamp, dont le thème était la « finance éthique ». Les BarCamps sont des « ateliers-événements participatifs » : tout le monde participe, pas de spectateurs. Nous avons donc discuté de l'éthique dans la finance, de l'argent socialement responsable, sujet qui peut sembler à priori étrange, dans notre culture capitaliste, toujours à la recherche du profit maximum.