Couper les gras saturés ne réduit pas les risques de souffrir de maladies cardiovasculaires.
Une étude surprenante dont fait état la Société européenne de cardiologie à Sophia : les faibles degrés d'intelligence seraient associés à des taux de maladies cardiovasculaires et de mortalité totale supérieurs à ceux constatés pour les autres facteurs de risque (obésité, hypertension artérielle, etc.) exception faite de la cigarette.
Que faire pour éviter cette crise de santé publique annoncée?