John Terry, capitaine des Blues de Chelsea et de la sélection anglaise, se retrouve au milieu d'un de ces scandales dont raffolent les tabloïds :...
John Koller , Directeur du Marketing Hardware Sony , iBeliever L'entrée d'Apple dans l'espace du jeu nomade a eu un effet positif pour Sony... Lorsque les gens veulent une console plus intéressante, plus complexe, ils passent à la PSP. ...Lire la suite | 1 commentaire
Barack Obama engage un bras de fer contre le mur d'argent, façon pour lui de se réconcilier avec l'Amérique profonde et les classes moyennes.
Le radical chic doit laisser place au radical choc.
Le radical chic c'est le parti démocrate de la cote Est. Beaucoup d'interprétations fusent actuellement sur la victoire de Scott Brown. Il y a une information qui a fait mouche : en 2008 Obama avait obtenu davantage de financements de banquiers que McCain.
McCain très engagé aux côtés de Brown a publié des informations dévastatrices :
1) Il a fait constater que l'industrie de la finance a versé, lors des élections de 2008, un montant record de près de 476 millions de dollars, dont 51 % aux Démocrates ?
2) Barack Obama lui-même a touché presque 40 millions, contre 29 millions pour John McCain.
Un mur de l'argent qui s'élève de façon encore plus redoutable avec la décision de la Cour Syprême de levée conditionnelle de tout plafond pour les cotisations des entreprises aux campagnes électorales.
Dans ces conditions, Barack Obama ne pouvait que livrer bataille. Elle promet d'être rude. Le scrutin de novembre 2010 sera très impacté par ce dossier.
Un livre raconte la chronique intime de la campagne électorale la plus médiatisée de l'histoire américaine : les personnalités, les stratégies, les trahisons et les petites phrases qui ont tissé la victoire de Barack Obama en 2008, scellant l'échec de Hillary Clinton, puis de John McCain.
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