Des participants de 55 pays sont réunis à Québec pour le Congrès international de la viabilité hivernale, dont une délégation du Burkina Faso, qui n'a jamais reçu ne serait-ce qu'un seul flocon de neige. (Journal de Québec)
Une image, une lumière. Un regard, un sentiment. Des sentiers battus, un avenir grandissant. Tels sont les mots qui pourraient qualifier le cinéma africain. Sorti des sentiers battus, avec des personnages comme Sembène Ousmane, Paulin Soumanou Vieyra ou encore Raberojo, le 7e art s'est largement développé durant ce XXIe siècle. Du Burkina Faso au Nigeria, les oeuvres défilent. Les réalisateurs aussi. Mais toujours cette même problématique, celle d'une distribution inexistante et d'une reconnaissance à reconquérir.
Une image, une lumière. Un regard, un sentiment. Des sentiers battus, un avenir grandissant. Tels sont les mots qui pourraient qualifier le cinéma africain. Sorti des sentiers battus, avec des personnages comme Sembène Ousmane, Paulin Soumanou Vieyra ou encore Raberojo, le 7e art s'est largement développé durant ce XXIe siècle. Du Burkina Faso au Nigeria, les oeuvres défilent. Les réalisateurs aussi. Mais toujours cette même problématique, celle d'une distribution inexistante et d'une reconnaissance à reconquérir.
L'Union nationale des supporters des Etalons (UNSE) a animé un point de presse, le vendredi 29 janvier au stade du 4-Août. L'ordre du jour a été principalement axé sur le bilan de la participation des supporters emmenés par l'UNSE en Angola.