U R G E N T
Recherche pour le congo, un directeur de raffinerie
pour une mission de 3 mois à 1 an ( souvent + en réalité)
Début immédiat, poste trés urgent
Salaire et avantages en...
Mercredi 6 janvier 2010 :Le 5 janvier, un hélicoptère emportant à son bord du personnel de l'observatoire volcanologique de Goma et du parc des Virunga, a pu survoler le Nyamuragira qui est entré en éruption le 2 janvier au matin. A l'heure actuelle, l'éruption se poursuit. La lave a parcouru 21 kilomètres et n'est plus qu'à 7 km de la route entre Goma et Sake. Selon les participants à ce vol, on assiste à un spectacle de désolation.
Lorsque l'éruption a débuté, quatre cratères étaient actifs. Trois d'entre eux se sont calmés, mais le quatrième continue à émettre de la lave. Cette dernière avance beaucoup plus vite maintenant car la pente est plus forte. Si la lave atteint la route entre Goma et Sake, ce sera une catastrophe. Pour le moment, elle s'écoule uniquement dans le parc des Virunga, mais les volcanologues pensent qu'elle peut atteindre la route en 2 ou 3 jours.
Ce qui a également frappé les personnes qui ont participé au survol de la région, c'est la déforestation due au commerce illégal du charbon de bois. On peut voir des gens sortir du parc avec le charbon de bois des Virunga.
Par chance, les chimpanzés de Tongo - espèce menacée - sont hors de danger pour le moment. Des antilopes et d'autres petits animaux s'éloignent des flancs du Nyamuragira, mais on ne dénombre pas de pertes.
La situation humanitaire de quelque 50.000 expulsés angolais de la République démocratique du Congo devient plus que dramatique, au point que le Haut commissariat des Nations unies pour les réfugiés (HCR) utilise de gros moyens pour y faire face. C'est depuis Johannesburg que le HCR achemine de l'aide humanitaire destinée aux expulsés angolais venus de la République démocratique du Congo.
«Ce n'est pas la première fois ou la seconde non plus...et peut-être pas la dernière où l'Angola fait des incursions en République démocratique du Congo comme si elle était sur un territoire conquis»! Le cri de colère est de Jean Claude Vuemba, député national élu du territoire de Kasangulu dans la province du Bas-Congo.