La vente des biens mobiliers de l'ex-verrerie Duralex de Rive-de-Gier (Loire) a rapporté 1,5 million d'euros. La structure métallique de l'usine, de l'ordre de 15.000 tonnes, a été vendue à elle seule 1,05 million à l'entreprise Recyclage Déchets Service (RDS), de L'Horme (Loire). Le reste était...
La société Duralex à la Chapelle-Saint-Mesmin sauvées par quatre investisseurs. Les célèbres verres Duralex, fragilisés depuis trois ans par des problèmes financiers, ont trouvé un repreneur qui veut relancer la marque en investissant près de 4 millions d'euros. « Duralex possède un savoir-faire incomparable et jouit d'un coefficient de sympathie important », a déclaré à la presse Pierre Jullien, l'un des quatre repreneurs. Après avoir reçu 17 manifestations d'intérêt pour Duralex, le tribunal de commerce d'Orléans a jugé que l'offre de reprise des quatre investisseurs présentait un projet commercial intéressant qui permet la sauvegarde de 200 emplois sur 240. Dès hier, les repreneurs se sont rendus à La Chapelle Saint-Mesmin pour expliquer aux salariés leur projet. Réorganiser la société et proposer des produits plus tendance, au goût du jour, avec des formes nouvelles, de la couleur, mais toujours avec la caractéristique de solidité qui a fait sa renommée internationale et un prix abordable ; moderniser les outils de travail et se tourner vers les arts de la table.Pascal Colichet, délégué CGT est soulagé, mais pas complètement rassuré. Ecoutez-le au micro d’Intensité dans notre rubrique podcast et sons.Créée en 1927 par un vinaigrier d'Orléans puis rachetée en 1934 par Saint-Gobain, le verre Duralex est un verre trempé et pressé qui a vu le jour en 1939. Il est soumis à un choc thermique : chauffé à 600 degrés et refroidi très rapidement. Le procé...
La fin du feuilleton Duralex, le tribunal de commerce d'Orléans a décidé, ce lundi matin, d'accorder la reprise de l'entreprise à un groupe de quatre actionnaires français. Les juges ont estimé que cette offre de reprise présentait un projet commercial interessant permettant de concerver 200 emplois sur les 240 actuels. L'entreprise de la Chapelle-Saint-Mesmin avait été mise en liquitation judiciaire avec poursuite d'activité dans l'attente de proposition de reprises. 17 projets se sont présentés dont celui qui a été choisi par le tribunal de commerce.
La verrerie Duralex sera fixée sur son avenir lundi. La société est en liquidation judiciaire avec poursuite d’activité depuis quelques semaines. Le tribunal de commerce d'Orléans fera connaître lundi sa décision sur le choix du repreneur de la verrerie qui emploie 240 salariés à La Chapelle Saint-Mesmin dans le Loiret. Il reste deux candidats sérieux parmi les dix-sept postulants au départ. Le premier candidat, maintient seulement 135 emplois et apporte un million d'euros. Le second propose de conserver 200 emplois et apporte 3,6 millions d'euros. C’est celui-ci qui semble le mieux placé. Il s’agit d’un groupe de quatre actionnaires français (un industriel, un spécialiste de reprise d'entreprises et deux cadres de Duralex).