Malgré la visite du ministre, plusieurs urgences traînent encore de la patte. (Journal de Montréal)
Les urgences viscérales, orthopédiques et neurochirurgicales subissent une petite toilette sans grande extension. Ainsi, les trois spécialités sont momentanément transférées au rez-de-chaussée du pavillon. Cependant, le rush reste incessant vers cet hôpital qui tourne à plein régime pour prendre en charge les populations de l'Est...
Il est 20 heures passées. Ce soir-là, l'animation au sein du service des urgences médicochirurgicales du CHU d'Oran bat son plein. Le personnel s'agite dans tous les sens, sans pour autant montrer des signes d'affolement ou de panique quelconque. Juste quelques mots lancés çà et là entre résidents et infirmiers.
Le nombre de consultations aux urgences médicochirurgicales (UMC) dans la wilaya de Tlemcen semble doubler. Quotidiennement, un nombre important de patients afflue vers ces structures, le plus souvent caractérisées par une totale désorganisation et un laisser-aller, que personne ne pourra contredire, et ce, face à cette incroyable affluence.