Fayard a déprogrammé un essai sur les « nouveaux philosophes », très critique envers Bernard-Henri Lévy. Rue89 a lu le manuscrit.
en lire plus
Critique, c'est un métier de dupe, parce que l'on finit toujours par se lasser. Alors critique d'un seul domaine, cela se gère encore pas trop mal, mais critique appartenant à un syndicat, alors là, ça se corse. Et cette année, le Syndicat de la critique de Cinéma a remis hier ses prix, comme toujours, avec en particulier des prix pour les livres du cinéma.
Quatre ouvrages ont reçu les honneurs entre deux autres récompenses attribuées à des films, français ou d'ailleurs, court ou non...
Prix du Meilleur livre français : Hollywood classique, le temps des géants, de Pierre Berthomieu, (Rouge profond)
Le Prix du Meilleur album est allé, lui au livre d'Hervé Dumont, préfacé par Jean Tulard, L'antiquité au cinéma.
Prix du Meilleur livre étranger : deux lauréats, impossibles manifestement à départager, Tambour battant, récit de la vie de Volker Schlöndorff, cinéaste allemand (Flammarion) et Bric-à-brac, du cauchemar réel au réalisme magique, des écrits du Roumain Lucian Pintilie.
Dans les films, le grand vainqueur restera sans nul doute Un prophète, le dernier film de Jacques Audiard, qui a été élu film français de l'année.
L'ex-patron de SNC-Lavalin Jacques Lamarre aussi administrateur de PPP Canada continue d'être très critique face à cette manière de faire qui serait au désavantage du privé. (ARGENT)
Après le livre numérique, un nouveau genre fait son apparition : le livre multimédia, qui entretient le suspens de l'ouvrage papier à travers liens et clips vidéos en ligne.