Voici la couverture australienne de UNDER THE DOME qui est très probablement la couverture britannique également (Hodder & Stoughton)
Interim-Nation recherche un conducteur de travaux couverture/étanchéité en vue d'une embauche
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Vincent Peillon a tenté d'ouvrir la question du pluralisme dans les médias mais en vain comme si cette question s'avérait accessoire ...
Vincent Peillon a ouvert un sujet majeur très vite refermé : la qualité de l'information en France.
Ce sujet a été très vite refermé parce que le débat s'est porté d'abord sur la forme à savoir son refus de participation à une émission TV plutôt que sur le fond.
Un débat qui, sur le fond, aurait d'ailleurs pu rebondir avec l'émission présidentielle sur TF 1 dont la couverture médiatique tranchait singulièrement avec la couverture du discours de Barack Obama sur l'état de l'Union.
C'est inquiétant que ce dossier majeur ait été aussi vite refermé car, parler de l'information, c'est examiner l'ensemble des rapports entre l'individu et l'Etat.
La multiplication des supports d'informations tend à rendre moins forte l'exigence d'impartialité de chacun d'entre eux.
Comme si cette qualité d'information reposait désormais non plus dans l'impartialité des supports mais dans le cumul des partialités de plusieurs supports en laissant aux citoyens le soin de se faire une opinion ...
A ceux qui doutaient des améliorations utiles dans l'information Française face à un évènement politique, que d'enseignements sont à tirer de la couverture médiatique Américaine sur le discours de l'état de l'Union.
La couverture du discours d'Obama sur l'état de l'Union montre, une fois de plus, le fossé qui se creuse de façon inquiétante entre l'information à la française et celle des autres démocraties modernes face à des évènements politiques majeurs.
Dans le premier cas, Nicolas Sarkozy a été protégé de tout pouvoir d'expertise de nature à rétablir des vérités ou exprimer des analyses contradictoires susceptibles d'équilibrer les propos du Président de la République.
Dans le second cas, des responsables politiques des diverses formations ont pu dialoguer, échanger, contester. Des analystes ont fait part de leurs remarques et ont pu également exprimer leurs commentaires dans la plus grande transparence.
Cette comparaison ne peut qu'apporter de la force aux déclarations de Vincent Peillon qui dénonçait les comportements de certaines chaînes Françaises capables il est vrai d'importer les séries ou évolutions de télé-réalité mais laissant au bord du chemin leurs avancées en matière d'informations générales...