Les personnes affichant un IMC de 25 kg/m2 ou plus vivraient 17% plus longtemps que celles ayant un poids santé.
Des chercheurs américains de l'Université Yeshiva de New York auraient découvert qu'un gène lié à la longévité permettrait également d'empêcher une dégradation de la mémoire et de réduire les risques de démence chez les personnes âgées.
Les scientifiques américains sont partis du principe qu'une variante du gène CETP (une enzyme impliquée dans la régulation des lipoprotéines) qui joue un rôle dans la longévité, permettrait également de préserver les facultés cognitives des personnes âgées'
Pour parvenir à leurs conclusions, les chercheurs de l'Université Yeshiva de New York ont analysé les données médicales de 523 seniors participant à l'étude « Einstein Aging Study », portant sur le vieillissement. Cette dernière, financée par le gouvernement américain, a permis...
Une variante d'un gène lié à la longévité aiderait à empêcher une dégradation de la mémoire et éviter la démence chez les personnes âgées, selon des travaux publiés mardi et qui pourraient ouvrir la voie à une nouvelle approche contre la maladie d'Alzheimer.
« Alors que le Québec est confronté à un choc démographique majeur, le vieillissement de la population constitue une opportunité de création de richesse collective et il est impératif de mettre en valeur tout le potentiel que représente l'amélioration de la longévité » déclarait récemment l'économiste Claude Castonguay, invité au Cirano, à l'occasion de la publication d'un rapport intitulé « La longévité, une richesse »*
Posant un regard nouveau sur les enjeux liés au vieillissement de la population, le rapport traite notamment du lien entre la croissance de la population active et la croissance économique, démontrant une corrélation étroite entre ces deux variables.
Au Québec, d'ici moins de cinq ans, la population des 20 à 64 ans diminuera et les départs...